Depuis qu’en 1777 il a, en quelque sorte, signé son « Opus 1 » avec le Concerto K.271 pour piano et orchestre, dit « Jeunehomme » (du nom de sa créatrice, la pianiste française Jenamy), c’est à dire depuis qu’il a abandonné le style galant, Mozart va peu à peu transformer son oeuvre non opératique en un inépuisable laboratoire de recherches pour le genre musical où il reste insurpassé deux cent trente ans plus tard : l’opéra. C’est devenu une banalité de l’écrire, mais l’observation générale doit être complétée par des exemples précis et l’étude des partitions.