Un programme ambitieux nous est proposé par l’Opéra de Dijon, comportant deux sommets franckistes auxquels il serait suicidaire de s’attaquer si l’on ne participe de cette élite chevronnée. La juxtaposition de Haydn, qui ouvre le concert, surprend. A moins d’un siècle de distance, est-il possible de trouver des œuvres d’apparence aussi différentes ?
DIAPASON
Philippe Cassard et Cédric Pescia célèbrent l’année Beethoven en affrontant, à deux pianos (exit le chœur du finale et les solistes), sa Symphonie n°9.
LE FIGARO
La Neuvième pour deux pianos, défi majeur.
CLASSICA
DIAPASON
Dieu est dans les détails
En spécialiste accompli, Philippe Cassard s’infiltre avec audace au cœur des sonates de Schubert et les possède comme personne.