Pour donner le coup d’envoi de la saison pianistique de la salle Gaveau, le musicien français avait choisi un programme marqué par le romantisme : seize pièces de Mendelssohn, de Brahms et de Fauré précédaient la dernière sonate de Chopin.

Les voix de Philippe Cassard Après son doublé discographique consacré à
Mendelssohn’Sony Classical) et Fauré (La Dolce Volta), l’insatiable musicien réaffirme en récital son amour pourle chant.